Élodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Partie 20

-HAN HAN HAN …. Oui vas-y putain, encule moi bien à fond! ….
-HUN HUN HUN …. Tu l’aimes hein ma queue d’arabe, espèce de chienne d’asiat!
-Oui …. HAN HAN HAN ….

-HUM HUM HUM …. *CLAC* *CLAC* *CLAC*
-Tu les aimes hein nos grosses bites, sale chienne!
-Allez-y les mecs défoncez la s’te sale blanche! Vas-y suce moi toi!

Les cris de Julie font écho aux claquements du ventre de Djibril contre son cul musclé,
elle est secoué comme une poupée désarticulée juste à côté d’Élodie qui a bien du mal à
rester dans le jeu. Comme si cela ne suffisait pas, le trio continue à besogner la
brunette qui gémit de cris étouffés, la bouche emplie d’une jeune bite longue et bien
épaisse. Élodie l’entend suffoquer, dans l’impossibilité d’avaler le jeune homme en gorge
profonde.

La gamine quasiment à poil en face de Moussa attend, fébrile, que le croupier dépose la
dernière carte de la rivière. Ses sens sont inondés d’odeurs de sexe emplissant la “salle
de jeu”, de bruits humides de peau claquant l’une contre l’autre, son champ de vision est
sans cesse attiré par les grosse mamelles de Julie balancées d’avant en arrière sous les
coups puissant du jeune rebeu. Ses tétons gonflés ultra sensibles et sa vulve humide
vibrant au rythme de l’œuf qui ne s’arrête pas de lui décharger des vagues de plaisir au
plus profond de son être, la rendent hystériques, elle a besoin elle aussi d’une bonne
queue lui ramonant ses trous aux abois.

Son cerveau embrumé transforme la réalité autour d’elle, l’adolescente a l’impression que
le monde a ralenti autour d’elle. La tension sexuelle est telle, qu’elle ne sait même
plus si elle veut perdre ou gagner, les gémissements de Julie et d’Iza lui donne envie de
tout valdinguer et d’offrir son corps à tous ces mâles en rut.

Pourtant la belle tient le coup, son cœur bat fortement dans ses tempes alors que la
carte se retourne sur la rivière, Moussa éructe de joie:

-10 de trèfle; quinte flush royale BB!

Devant l’éructation de joie de son adversaire, le cœur d’Élodie explose littéralement
dans sa poitrine, son sang se glace.

Ce qui, il y a une fraction de seconde, était encore
logé au rang de fantasme devient soudain réalité. Le temps s’arrête pour l’adolescente
presque nue au milieu de ce squat occupé par une, ou plusieurs, bandes de jeunes hommes
dans la fleur de l’âge et pour ce qu’elle en a vu, plutôt bien équipés. Ses oreilles
bourdonnent soudain de sons presque incompréhensibles.

Comme pour le ralenti d’une scène de film, elle décortique le mouvement des cartes jetées
sur la table en signe de victoire, elle distingue très nettement le bruit de chaque
goutte de pluie s’écrasant contre le triple vitrage de la baie vitrée, les vibrations de
l’œuf ancré en elle sont presque un lointain souvenir.

Il faut que Julie se décule de son arabe et pose sa main douce sur son épaule dénudée
pour que la jolie brunette reprenne le fil du temps:

-Hum, qu’est-ce qu’on va s’amuser avec toi ma belle!

Ces seins éructent en une succession de décharge électrique inondant son corps ultra
sensibilisé, lorsque la salope d’Iza les prend à pleine main et glisse ses doigts gluants
de mouille pour pincer et étirer ses tétons prisonniers de leur carcan serré.

Élodie se cambre involontairement en arrière, la bouche ouverte sur un cri inaudible.
Julie en profite pour lui rouler une pelle majestueuse, mélangeant sa langue avec celle
de la brunette à la queue de cheval. Lorsque la jeune asiatique glisse sa main gauche
entre les cuisses de l’adolescente, sa peau se couvre de chair de poule contrastant avec
la chaleur pesante de la pièce inondée de phéromones. Julie glisse ses doigts fins sous
la pointe du V en dentelle et ne tarde pas à s’occuper du clitoris tout gonflé de la
belle.

Iza écarte, quant à elle, les deux bandes de dentelle noire pour exposer les tétons
gonflés et engoncés à la vue de tous les mâles présents autour de la gamine.
Elle ne
tarde pas à rejoindre Julie et les filles se roulent alors une pelle à trois, les lèvres
pulpeuses d’Élodie alternant naturellement entre celle de ses baiseuses.

-Putain les mecs, on a à faire à de la chaudasse de compét’
-De ouf, je suis sûr que même si elle avait gagné, on aurait pu s’la serrer!

Moussa claque un taquet magistral à Djbril: *CLAC*

-Ta gueule connard! J’ai gagné et elle a plus le choix! On va s’la baiser comme une sale
chienne!

Élodie, perdue dans l’extase de ses deux maîtresses n’entend ni ne voit le grand black
baraqué se lever et contourner la table de jeu temporaire. Il rompt le charme du triple
baiser baveux en tirant Élodie par la queue de cheval et commence à lui bifler le visage
de sa grosse bite longue, trapue et encore toute molle:

-Ouvre la bouche p’tite pute!

Dans une semi conscience, Élodie ouvre la bouche machinalement sans même sortir de sa
torpeur. Sans autre forme de préliminaire, Moussa plante sa bite flasque au fond de la
bouche ouverte devant lui. Julie ne reconnaît pas le chauffeur de bus qui il y encore
quelques semaines la reconduisait chez ses parents avant son déménagement chez son
martiniquais de patron. Elle observe son regard de prédateur au moment où il se met à
onduler du bassin, faisant coulisser sa queue déjà humide de la salive de la brunette aux
anglaises.

Élodie n’en revient pas de la brutalité du grand black, il a tout juste planté sa queue
au fond de sa bouche, que cette dernière prend déjà de la vigueur pour durcir et gonfler
entre ses lèvres gourmandes. Le gland titille sa luette, et le jeune homme se retire pour
venir se replanter dans sa gorge toute serrée d’un puissant coup de reins. Il prend
rapidement un rythme intense, se plantant à chaque coup de bite au plus profond de la
bouche de la gamine, qui encaisse les coups en ouvrant au maximum sa gorge pour lui
permettre les gorges profondes qu’il initie dès les premiers coups de queue.


*GWAH* *GWAH* *GWAH* *GWAH* *GWAH* Le géant d’ébène pilonne la gorge de la gamine comme
un forcené sous les yeux admiratifs de tous les gamins dans la pièce. Iza est surprise de
la réactions de ces jeunes de banlieue, est-ce que c’est la gamine qui les impressionne,
ou bien admirent-ils celui qui semble être leur chef. Lorsqu’elle a accepté de suivre son
date tinder pour une soirée love, elle ne pensait pas se retrouver actrice d’une
tournante à quatre et spectatrice d’une telle violence sexuelle envers une gamine, qui a
en plus l’air de prendre son pied!

Après plusieurs minutes à pistonner la bouche et la gorge voluptueuses de l’adolescente,
Moussa se retire pour la laisser respirer, un long filet de bave reliant sa grosse queue
massive aux douces lèvres de la belle. Il la soulève de sa chaise, toujours par la queue
de cheval qu’il tient fermement. Il lui roule ensuite une pelle bien baveuse, insérant sa
grosse langue rose dans la bouche offerte. Sa puissante main glisse et malaxe les chair
tendres de l’adolescente sans tendresse, avant de passer sous le teddy en dentelle légère
pour l’arracher sans effort d’un seul mouvement. Il rompt le contact avec les lèvres
charnues et se recule pour admirer la gamine aux formes généreuses:

-Qu’est-ce qu’on a là dit moi?

Il tire alors sur la chaînette pendante entre les grosses mamelles de la belle, qui
gémit, les tétons déclenchant des décharges de douleur et de jouissance mélangées dans
tout son être. Élodie est parcourue de tremblements secouant tout son être, sa peau et
ses muqueuses sont extrêmement sensibles, ses tétons entravés depuis si longtemps.

-HUM t’es une vraie petite chaudasse dit moi?

Il profite de la situation jusqu’au bout, et la tire par la chaînette pour la guider vers
le canapé usé dans le coin comme une vraie chienne guidée par sa laisse.
La belle le
suit, soumise, perchée sur ses stilettos de 15cm, elle ondule du cul, déclenchant
l’excitation de tous les mâles de la pièce, les trois compères qui s’occupaient de la
belle Iza éructent sans réfléchir :

-Putain, la salope!
-On va te faire ta fête p’tite pute!
-C’est notre deuxième salope de blanche de la soirée!

Toujours installés sur leur canapé après avoir libéré la jeune parisienne, ils trépignent
d’impatience de se farcir la jeune adolescente à la peau douce, et astique
continuellement leur queues encore couverte des fluides intimes d’Iza.

-Les mecs, levez vous qu’elle vous suce un peu s’te salope!

Les trois potes ne se font pas prier et ont tôt fait d’entourer la gamine qui fait
vraiment petite même avec ses talons aiguilles/plateformes. Les trois jeunes blacks au
physique filiforme et à la musculature vive et noueuse sont nus et leur virilité est déjà
retombée, même en face d’un petit canon comme Élodie. Ces gamins sont des durs, et il n’y
a que la domination de leur femelle qui les fait bander.

L’un deux se cramponne violemment aux nibards sensible de la gamine et se penche pour lui
rouler une galoche humide. Ses collègues attnt les mains fines de la gamine et les
guident vers leur sexe respectif. Élodie est de nouveau parcourue de frissons sous
l’action simultanée des vibrations qui ont repris en elle, et du traitement rude de ses
mamelles prisonnières de la chaînette. Il malaxe la chair flasque des gros seins sensible
et s’amuse à tirer sur la chaînette.

-HUN ….

Les pinces tiraillent les tétons durs et sensibles de la gamine, qui dans son délire
entend un groupe de mecs entrer dans la pièce et injurier copieusement Iza et Julie.
Élodie préfère garder les yeux fermés, paralysée par la peur de ce qui l’attend dans
cette pièce qui commence à ressembler à un zoo d’animaux en rut.

-Branle nous p’tite pute!

La brunette commence à faire glisser ses mains le long des bites flasques, et le mec
devant elle la débouche pour la guider vers le bas approchant ses lèvres gourmandes de sa
bite odorante.

-Ouvre les yeux p’tite pute! Et mate moi dans les yeux!

Ce qui l’effrayait se concrétise vraiment cette fois, elle essaye de river ses yeux dans
le regard bestial du mec qu’elle suce. Ca lui fait bizarre de mettre en bouche la queue
de cet anonyme, contrairement aux autres hommes qu’elle a sucer pour obtenir son
cumcicle, elle n’a tissé aucun lien avec ce jeune black. Pour lui elle n’est qu’un trou
qui lui astique le manche.

Les bruits alentours se font très présents maintenant, et Élodie ne peut ignorer ses
compagnes de galère. Julie est déjà malmenée à la verticale, sa pastille anale
apparemment dilatée par une double sodomie sauvage. Les deux monstres de muscle et de
graisse la font coulisser à la verticale sur leur bite, secouant sa grosse poitrine
flasque de haut en bas.

Iza, elle, est attachée contre le dossier d’une chaise, les reins cambrés, ses seins
dégagés entre deux barreaux de bois horizontaux, et son cul tendu dans le vide, les
fesses écartées au maximum pour donner libre accès à tous ses trous. Moussa l’att par
les cheveux, et lui tire le crâne en arrière pour qu’elle ouvre la bouche. Il fait couler
un long filet de salive entre les lèvres de la belle brune et lui colle sa gaule dure et
bien tendue dans sa bouche.

*CLAC* *CLAC* *CLAC* Le croupier vient de rejoindre son pote et flagelle le cul tendu
d’Iza de claques puissantes et sonores, faisant rougir rapidement les fesses de la belle.

Élodie s’interdit d’imaginer subir le même traitement, même si elle ne peut s’empêcher de
mouiller comme une folle devant le spectacle qui lui est offert. Le jeune homme s’en rend
compte immédiatement, elle se met à lui aspirer le gland avec encore plus de gourmandise:

-SLURP …. HUMPH HUMPH HUMPH …. SLURP

Elle lui fait une pipe bien baveuse tout en continuant de branler les deux mecs qui
baisaient Julie en double il y a tout juste quelques minutes. La bite durcit et s’allonge
encore dans sa bouche, elle sent même le gland gonfler contre son palais. Le jeune black
se retire pour ne pas gicler. Il ne peut éviter un taquet derrière le crâne, c’est
Djibril qui s’improvise contrôleur de la partouze:

-Ecoutez moi bien bande de cons, on ne gicle pas dans ces demoiselles! La gamine a besoin
de votre sperme, donc vous vous vider dans ses capotes!

Il att la pochette en tissu, et avant qu’Élodie n’ait pu réagir, l’enculeur de Julie
lui plante sa bite odorante au goût salé entre les lèvres:

-Nettoie moi la queue p’tite pute:

Quelle n’est pas la surprise de l‘arabe lorsqu’il ouvre le sac à main pour y chercher les
préservatif que l’adolescente a dû apporter avec elle:

-Regarde ça Romu? Ta pute est bien outillée on dirait! Tiens Michel, att!

Il balance les deux godes au croupier qui les fait sucer à Iza l’un après l’autre avant
de les planter dans ses deux trous tendus lui arrachant un cri étouffé à mi chemin entre
plaisir et douleur. Sans attendre, Michel se met à branler la jeune parisienne par les
deux orifices pendant que Moussa essaye de franchir la limite de se luette tendue pour
lui baiser la bouche en gorge profonde.

Élodie encaisse toujours les coups de bite sale au fond de sa gorge détendue et lubrifie
au maximum la queue bandée de sa salive abondante:

-SLURP SLURP …. *GWAH* *GWAH* *GWAH* …. SLURP ….

Le gamin alterne entre tétage de gland et gorge profonde, la guidant sur sa bite en
l’attirant à lui par la chaînette, qui tiraille de plus en plus les tétons durcis et
gonflés de l’adolescente. A son tour, il est sur le point de gicler dans la bouche
juvénile, et se retire instantanément pour relâcher la pression.

Le troisième larron en profite, il att la chaînette et tire fort dessus pour attirer
sur sa bite couverte de mouille asiatique, la bouche très talentueuse de la gamine aux
anglaises. Élodie ne peut retenir un cri lorsque la boucle gauche se déloge de son téton,
le flux de sang soudainement rétabli sur la terminaison mammaire provoque une décharge
fulgurante dans la poitrine généreuse d’Élodie.

Djibril, qui connaît bien ce genre de jeu, mouille vite fait ses doigts et soulage la
gamine en lui massant le téton du bout des doigts. Élodie se cambre instantanément, une
vague de chaleur se propageant en elle. Elle ouvre la bouche dans un soupir de plaisir
non contenu, et le jeune homme en profite pour lui carrer sa bite aux goûts acidulés de
cyprine asiatique.

-MWACK …. SLURP SLURP SLURP ….

Les sens exacerbés par les traitements tantôt soft et tantôt hard, Élodie plonge sur la
bite tendue et offerte à elle. Elle l’aspire, la tête, comme un bébé se nourrit au sein.
Devant un tel talent le gamin a la bonne idée de tirer d’un coup sec sur la deuxième
pince et s’enfonce au fond de la gorge de la brunette, d’un grand coup de reins lorsque
cette dernière se met à crier, ouvrant au passage sa gorge et permettre au gland tuméfié
de l’envahir jusqu’à la garde.

Élodie ne peut retenir une larme lorsque la douleur se répand dans son mamelon et irradie
sa poitrine pantelante. Le gamin copie son aîné et soulage la belle en massant son aréole
entre ses doigts lubrifiés. La petite brune se détend, soulagée, puis elle se crispe à
nouveau, soulevant sa croupe tendue, lorsque le jeune homme lui att les deux tétons
pour les étirer vers le bas et les vriller violemment.

Sous la pression, Élodie éjacule littéralement une énorme giclée de cyprine, expulsant
par la même occasion l’œuf vibrant.

*CLAC*

Djibril lui décroche une fessée magistrale sur la fesse gauche, marquant la peau sensible
de la belle brune, d’une trace de main rose. Il place ensuite ses deux mains de part et
d’autre des hanches de la gamine et plante sa bite dans la chatte gorgée de sang et de
mouille qui s’offre à lui:

-HAN …. Prends ma grosse bite dans ta chatte salope.

Élodie sent la longue queue de l’arabe lui écarter les muqueuses rendues très sensibles
par le sex toy. L’arabe est en extase, il n’avait jamais enfiler de chatte aussi serrée,
mouillée et gonflée en même temps. Lorsqu’il est ancré en elle jusqu’à la garde, il
corrige le problème de symétrie fessière en lui claquant la deuxième joue culière:

*CLAC*

Élodie se crispe sur les deux bites qui l’envahissent en même temps par l’avant et par
l’arrière. Djibril est contraint de se figer au fond du minou en chaleur, et détend au
maximum sa prostate pour ne pas jouir de plaisir, tellement le petit gabarit qu’il
s’enfile est un bon coup!

La bite dans la gorge de la belle gonfle à son tour, obstruant complètement la trachée de
la belle qui commence à se sentir partir par manque d’oxygène.

-HUMPH HUMPH HUMPH ….

Le réflexe de la gorge de la gamine crée des spasmes délicieux pour le baiseur qui sent
les muscles de la gorge qu’il baise se serrer et se relâcher autour de sa queue, mais il
se retire tout de même pour laisser respirer la belle, que l'afflux soudain d’oxygène
transporte dans un délire sexuel exacerbé par la sécrétion d’une nouvelle vagues
d’hormones qui inondent soudain son cerveau.

Élodie s’écroule soudain, terrassée par les spasmes d’une jouissance absolue. Elle perd
connaissance, à moitié dans les vapes, juste assez pour entendre Julie gueuler lorsque
trois bites énormes lui écarteler l’anus. La petite brune a tout juste le temps de voir
la jeune parisienne montée comme une chienne toujours attachée à sa chaise, puis c’est le
voile noir.

….

Lorsqu’elle reprend ses esprits, Élodie entend couiner au-dessus d’elle:

-HAN …. Oui! …. Putain, vas-y baise moi salop! Encule moi comme une chienne!

Elle reconnaît la voix d’Iza mais ne parvient pas à s’orienter. La lumière floue apparaît
et disparaît par intermittence au dessus de son visage. Puis ce sont des sons de
claquement peau contre peau, et toujours cette pluie battante à l’extérieur. Enfin, les
effluves sexuelles envahissent ses narines lorsqu’elle fait finalement le focus sur la
grosse bite de Romu qui entre et sort avec force et puissance dans l’anus dilaté de la
belle parisienne.

Élodie, qui essaye de se redresser, se trouve dans l’incapacité de bouger ses mains,
lorsque tout à coup elle réalise qu’elle a les poignets attachés aux pieds d’un énorme
repose pied, le dos cambré sur l’assise en velour, et le bassin dans le vide, les jambes
écartées.

Julie est à quatre pattes devant elle, défoncée par le grand et fort Moussa, qui la baise
violemment. Le souffle chaud de la jeune asiatique aux gros seins bringuebalés d’avant en
arrière sous sa poitrine, tapisse la vulve imberbe d’Élodie qui sent à nouveau un plaisir
sourd gonfler dans son ventre.

-Bouffez vous la chatte bande de chienne! Éructe Moussa qui tire sur la queue de cheval
pour plaquer les lèvres de l’adolescente sur la chatte dégoulinante de la parisienne.

Élodie se cambre de plaisir, lorsque la petite asiat se met à lui brouter le minou et à
exciter son clito d’un “flappement” de sa langue experte. La brunette aspire à son tour
le clito qui lui est offert, faisant gémir de plaisir la belle Iza. La douleur de la
sodomie brutale combinée à la douceur de la langue excitée de la brunette, déclenche une
nouvelle vague de plaisir à la parisienne qui répand sa cyprine chaude au goût métallique
entre les lèvres charnues d’Élodie.

Le jeune fille a tout juste le temps de profiter des jus de sa “copines” que Romu la
décule et attire le visage d’Élodie vers le haut pour lui planter sa grosse bite odorante
entre les lèvres, qu’il besogne quelques instants avant de se retirer pour enculer à
nouveau Iza, toujours attachée à sa chaise.

Alors qu’Élodie reprend son cuni gourmand, ses jambes cuissardées son écartées largement
par un nouveau venu. Dans son délire semi conscient, l’adolescente devine que cet homme
est une montagne humaine. Il lui att les chevilles et les écarte avant de planter,
difficilement, une queue démesurée dans la vulve pourtant distendue de la gamine.

-Hey l’asiat bouffe moi le cul pendant que je m’occupe de ta copine! …. Ouais c’est ça
p’tite chienne, lèche moi la pastille!

Et il se plante, lentement, inexorablement dans le minou détrempé. Elo n’en revient pas!
Comment un tel monstre peut lui écarteler la chatte sans la déchirer? Et il sait y faire
le salaud! Le gros gland écarte les muqueuses de la belle, et fait la place pour son
gourdin long et ultra fat!

-Oh putain qu’est-ce que t’es serrée p’tite chienne!

Il se retire, n’ayant pu l’enfiler que de la moitié.

-Elle encaisse moins bien que toi Juju! Rétorque Marco à la petite asiat qui sait
exactement comment faire du bien à son patron.

Sa petite langue rose frétille dans la pastille du géant et glisse le long de son
entrejambe lorsque son patron entre et sort de la chatte écartelée d’Élodie, pour aspirer
et sucer ses grosses couilles et lui procurer un plaisir exquis. Elle répète l’opération
à chaque coup de reins de Marco et s’attarde un peu plus sur ses couilles quand se
dernier se retire de la petite brune:

-Écartèle lui la chatte à cette petite conne! Même après que tous les jeunes l’aient
ramonée, elle reste trop serrée, putain!

“Après qu’ils m’aient tous ramonée? Est-ce qu’ils m’ont tous sautée pendant que ….”

-Aaaaaaah ….

Élodie se cambre lorsque Julie insère trois puis quatre doigts dans sa chatte tuméfiée et
rougie par les nombreuses pénétrations brutales. La petite asiat’ transforme sa main en
une lance de chair et d’os et commence à fister l’ado au rythme des mecs qui l’enculent
en tournante.

Afin d’ouvrir au plus grand la fente d’Élodie, Julie profite d’un changement de
partenaire pour y insérer le pouce et lorsqu’un des gamins s’enfonce en elle d’un grand
coup de rein puissant, elle fiste la gamine en poussant elle même un long râle plaisir,
et arrachant à la brunette un cri strident lorsqu’elle la plante jusqu’au poignet.

Élodie n’en peut plus, la main de la petite asiat’ lui écarte les muqueuses comme jamais.
Elle voudrait qu’elle s’arrête de bouger, mais les coups de bite puissants et aux rythmes
variés qu’encaissent Julie se propagent dans sa propre chatte en lui procurant de
nouveaux spasmes incontrôlable.

Les partenaires d’Iza se relaient cycliquement au dessus du visage tordu de douleur et de
plaisir mélangés d’Élodie qui elle même doit aspirer et sucer toutes les queues qui se
succèdent dans le cul et dans la chatte de la parisienne.

Le trio de jeunes filles se fait baiser continuellement en tournante par une quinzaine de
gamins qui ont pour ordre de ne pas juter dans les trous humides et distendus de leurs
proies.

Lorsque Marco estime que sa jeune serveuse a suffisamment assoupli les chairs tendre
d’Elo, il retire sa main sa ménagement et plante son gland gonflé entre les lèvres
vaginales, et reste immobile quelques instants, le temps que Julie puisse planter le gode
à manche dans le trou du cul de la jeune brunette.

La petite asiat’ pousse le sex toy sans difficultés dans la pastille rougie par toute les
bites qui l’ont défoncées lorsqu’elle était inconsciente. Marco en profite pour installer
les pinces mammaires de la chaînette après avoir copieusement aspiré et lubrifié ses
tétons durcis.

Élodie n’en peut plus de ses traitements répétitifs de suivi de plaisir intenses.
Elle frémit à chaque nouveau contact sur sa peau ne sachant pas si on va lui faire du
bien ou profiter de son immobilité e.

Marco s’enfonce à nouveau en elle en tirant sur la chaînette. Il arrache un cri guttural
à la gamine qui jouit quasiment instantanément lorsqu’il la pénètre jusqu’à la garde et
étire ses tétons meurtris dans le même mouvement. Les grosses couilles du martiniquais
s’écrasent sur la pastille perforée par le gode et Julie commence à la pistonner en
rythme avec son patron:

-Putain qu’est-ce que t’es serrée ma salope! HAN HAN HAN ….

Les râles de plaisir d’Élodie font échos à ceux de Marco. La belle ne peut contenir la
jouissance qui gonfle à nouveau dans le creux de son ventre. Comment peut elle éprouver
autant de plaisir à se faire défoncer les deux trous alors que ses tétons sont étirés au
maximum par le géant d’ébène:

-HUN HUMPH HUMPH …. Oh oui putain vas-y baise moi bien à fond salop! Défonce ma petite
chatte serrée!

Marco ne se fait pas prié, il relâche la tension sur la chaînette et att les
chevilles de la gamine pour lui écarteler les cuisses, puis il la baise avec ardeur.
Élodie sent chaque centimètre de l’épais morceau de chair parcouru de larges veines qui
s’enfonce au plus profond de sa chatte.

Le barman sait y faire, son gros gland masse les muqueuses huileuses de la belle à
nouveau coup de rein. Élodie ne peut contenir plus longtemps ses cris de jouissance.
Personne ne l’a jamais baiser de la sorte. Le feu de plaisir qui gronde en elle est
alimenté en continu par la double pénétration de ses tortionnaires.

Iza, qui vient d’être détachée par son amant d’un soir fond sur la gamine et lui malaxe
les seins de ses mains douces et effilées tout en lui aspirant goulûment les tétons tour
à tour. Elo ne sait plus où elle est, les deux bites la ramonent alternativement, et les
décharges de plaisir intense mêlées de vagues de douleur stridente des mordillements de
ses tétons se rencontrent dans les profondeurs de son être en un feu d’artifice continu.

Elle hurle de jouissance, le corps parcourus de nouveaux spasmes incontrôlable lorsque
simultanément Marco se plante violemment au fond de sa chatte et qu’Iza tire d’un coup
sur la chaînette délogeant les deux pinces de ses tétons meurtris.

Moussa libère la gamine en coupant ses liens et Élodie convulse à même le sol, son corps
parcourus de spasmes violents sous les coups de queue du martiniquais qui l’a retournée à
quatre pattes pour la prendre en levrette comme la petite chienne en chaleur qu’elle est
devenue.

Élodie est terrassée par la jouissance continue que le barman lui procure. L’esprit à la
dérive, noyée dans sa propre jouissance, elle embrasse avec fougue Iza qui se fait elle
même monter par Moussa qui l’encule avec une fougue incroyable. Les deux jeunes filles
entremêlent leurs langues dans un même souffle chaud. Les bruits humides de leurs bouches
emmêlées font écho à la douce mélodie de leurs muqueuses humides écartelées par les
grosses queues tendues et dures comme du bois qui les pénètrent avec fougue.

Les gémissement des deux gamines redonnent de la vigueur à tous les mecs qui assistent au
spectacle des deux salopes blanches qui se font baiser sous leurs yeux. Certains snap la
scène orgiaque, pendant que d’autre se branlent et que les derniers profitent des talents
de suceuse de Julie qui se régale de ne pas être leur souffre douleur pour une fois.

Élodie et Iza sont baisées au milieu de la grande pièce à vivre en face l’une de l’autre,
à quatre pattes, leurs bouches entremêlées dans un seul et même plaisir, leurs seins
lourds et épais se balançant d’avant en arrière sous leur poitrine au rythme des coups de
bites qui les mènent à une nouvelle explosion de jouissances.

Les jeunes filles sont entourées par une chaîne humaines de blacks et de rebeus de
banlieue, qui se branlent devant ce spectacle jouissif sucés les uns après les autres par
la petite asiatique aux gros seins qui promènes son joli cul surmonté d’un joli tatouage
la résumant à la “sperm addict” qu’elle est devenue.

Perdue dans son délir, Élodie n’a pas vraiment conscience du spectacle dont elle est une
des actrices, seules compte les vagues de plaisir qui parcourent son corps, alors qu’elle
se fait baiser en tournante par la quinzaine de jeunes qui l’entourent.

Les filles sont de nouveau séparées pour se faire démonter par trois ou quatre mecs en
même temps. Leur corps désarticulés subissent les assauts répétés des jeunes
banlieusards. Élodie se fait baiser comme une chienne en chaleur sur le canapé délavé,
les bites de Moussa et Romu écartant les muqueuses de sa chatte détrempée en une double
vaginale, alors que Djibril s’occupe de sa pastille rougie par tous les assauts qu’elle
encaisse depuis des heures et que Marco fait glisser son gros gland entre ses lèvres
charnues tout en étirant ses seins, sa poigne ferme agrippant la petite chaîne qui a
repris place sur les mamelons gonflés.

Les quatre mâles s’agitent en elle, son jeune corps est malmené par les assauts de ces
queues monstrueuses qui lui procurent pourtant tant de plaisir. La peau luisante de sueur
de la gamine et marquée des traces rouges de toutes les fessées que les gamins lui
assènent pour redonner du tonus à la gamine épuisée par toutes ces heures de baise.

Lorsqu’ils sont sur le point d’exploser en elle, ils se retirent d’un seul corps,
laissant la gamine pantelante s'effondrer sur le canapé en une ultime jouissance à peine
contenue. Les corps fourbus des trois jeunes filles sont rassemblés et emmenés sur le
balcon toujours balayé par la grosse pluie d’été. Le clapotement frais des gouttes
vivifie les chairs des gamines. Élodie à les mains attachées à la rambarde métallique, en
position de levrette, le cul tendu en arrière. Les mâles ne se font pas priés pour la
chevaucher tour à tour, ils l’enculent, la baisent, couvrent sa peau humidifiée par la
pluie de claques raffermissant ses chairs pour leur plus grand plaisir.

La gamine n’a même plus conscience d’être baiser en public sur le balcon surplombant
l’allée en dessous de ses pieds. Seul son plaisir compte, toutes ses bites qui se
succèdent en elle la ramonent jusqu’à la limite de l’explosion, puis se retirent pour
faire place à une nouvelle queue tendue et maintenue en érection par les talents de
suceuse d’Iza et Julie. Ces dernières ne servent plus qu’à maintenir tous les mâles en
forme pour qu’ils puissent continuer de baiser la petite salope blanche.

Mais toutes ces heures de baise intense commencent à faire des victimes, et un à un les
gamins ne résistent plus aux trous de l’adolescente. Ils giclent tour à tour dans les
capotes de la jeune fille. Seuls Moussa, Marco et Romu n’ont pas encore craqué. Le
contrat rempli, le trio de grosses bites entend bien remplir la gamine de leurs doses de
foutre bien chaud.

Ils détachent alors la gamine et la prenne à nouveau en triple sur la balcon. La petite
brune encaisse comme une grande la grosse queue de Marco qui s’enfonce avec force dans
son cul dilaté. Le martiniquais se redresse et plante la gamine sur sa grosse bite en lui
écartant les cuisses pour offrir la chatte imberbe à la bite de son neveu. Romu ne se
fait pas prier et enfile la gamine à grands coups de reins.

Élodie subit les assauts des deux hommes, la peau ruisselante de la pluie cinglante, ses
cris de jouissance percent la nuit et se réverbèrent sur les bâtiments de la cité. Romu
est sur le point d’exploser dans la chatte béante, son gros gland gonfle entre les
muqueuses humides et il se retire juste à temps laissant la place à Moussa qui la baise
sauvagement.

La gamine n’en revient même pas qu’après toutes ces heures de baise, son corps puisse
encore lui procurer autant de plaisir. La pluie cinglante, les queues habiles qui se
succèdent dans ses entrailles, les râles de ses mâles qui la baisent sans discontinuer
nourrissent le feu qui brûle dans ses entrailles. Elle sent pourtant ses hommes à bout de
leur résistance, les échanges se font de plus en plus rapidement, même l’énorme bite de
Marco qui lui burine l’anus se tend et gonfle de manière erratique.

Lorsque le martiniquais la dépose au sol pour l’enculer une ultime fois, les mains en
appui sur la rambarde, et les seins bringuebalants dans le vide, elle sait qu’il est à
bout. La gamine tend son cul au maximum, et cambre ses reins pour encaisser une ultime
jouissance qui explose au plus profond de son être lorsque le barman se contracte en un
ultime coup de reins et répand ses giclées de foutre dans ses intestins distendus.

Élodie jouit violemment lorsqu’elle sent la grosse bite gonfler et se répandre en elle.
Marco la décule et Elo se jette sur sa queue pour aspirer les doses de foutre que le
géant d’ébène déverse dans sa bouche pulpeuse en giclées gluantes et suaves de foutre
bien chaud.

Ses cheveux mouillés couvre ses épaules balayées par la pluie d’été lorsqu’à leur tour,
Romu et Moussa se vident entre ses lèvres gourmandes. Les jeunes mâles remplissent la
bouche de la belle brune, entièrement nue et offerte sur le balcon balayé par la douce
pluie d’été. Ils giclent chacun leur tour sur le visage poupon de la gamine qui se
délecte de leur foutre chaud contrastant avec la fraîcheur de l’eau qui ruisselle sur
elle. Élodie accroupie devant ses mâles écarte les cuisses au maximum pour jouir une
ultime fois, les doigts astiquant l’intérieur de sa chatte en chaleur.

Elle s’écroule, épuisé et couverte de foutre gluant, rassasiée et heureuse d’avoir autant
jouit dans ce taudis de banlieue, les 13 capotes pleines et empilées près de son visage
cinglé par la pluie chaude de cet été inoubliable.



********************

Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!